vendredi 29 septembre 2006

LE DIABLE N'A PAS BON GOUT

Pas grand chose à dire sur le Diable s’habille en Prada (déjà le titre …). Mais bon …

Le scénario est du niveau de la quatrième de couv ‘ d’un bouquin de poche, à lire sur un transat les jours de très forte chaleur, qui s’adresserait exclusivement à deux catégories de personnes :
1/les nénettes qui dévorent des bouquins consacrés aux histoires de nénettes qui ont des problèmes avec leurs mecs, leurs poids, leur boulot, leurs copines et elles (vous voyez de quel genre je cause ?)
2/les tapettes qui dévorent des bouquins consacrés aux histoires de nénettes qui ont des problèmes avec leurs mecs, leurs poids, leur boulot, leurs copines et elles (oui je sais c’est facile … ben c’est comme le film)

Résultat : c’est pas trop long (1h30), c’est pas trop moche (les filles sont jolies), jouissif parfois (les filles sont connes) mais pas toujours (les mecs aussi), facile à suivre (on peut même faire des pauses pipi sans craindre de perdre le fil de l’histoire), et complètement crétin (si tu veux bouffer des croques toute ta vie et te faire chier à Boston, laisse tomber ton taf à New York, tes fringues hors de prix et suis moi).
Un mot à propos de la bande son : INSUPPORTABLE !!!!

jeudi 28 septembre 2006

HAPPY BIRTHDAY MILOU

On a fêté l'anniversaire du "p'tit" Emile ... Ne me demandez pas son âge, je ne vous dirai rien sinon que nous avons désormais le même ! Si si ...
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Y'avait plein de choses à manger ...
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... François a même rigolé ...

... et Milou a tout soufflé !!!

mardi 26 septembre 2006

LA FERME !

Le dernier opus du ‘sieur Moby, Hotel (qui porte bien son nom puisque la galette, aussi inspirée qu’une chambre dessinée par un sbire de Starck made in 90’s, incite plutôt à la somnolence), c’est si mal vendu que ça, que le chauve new-yorkais nous inflige aujourd’hui, outre une compilation moyennement essentielle, un single affligeant pour lequel il a convié la pleureuse la plus célèbre de l’hexagone … oui, je veux parler de la Mylène !

Le principe de ce morceaux est très simple : on reprend un titre assez moyen, pas suffisamment fort pour être un single à la base (ni même un single basique), si on est un mec, anglo-saxon de surcroît, on demande à une nénette, française donc, de venir poser trois mots là-dessus (l’inverse est aussi envisageable puisque la chanteuse – hein ? quoi ? qu’ouïs-je ? qu’entends-je ? - a déjà fait ça avec Seal pour sa "compil’ à elle") et ça donne …

Ben ça donne une vraie daube, qui s’appelle (tenez-vous bien !) Crier la vieSlipping Away. Et ça fait peine à entendre comme à voir, le niveau graphique affligeant du contenant étant à la hauteur du résultat médiocre du contenu. Je vous épargnerai les paroles d’une nullité indescriptibles. En fait, paraît que le texte français, écrit par la dame elle-même (comme si c’était un gage de qualité) est très fidèle à celui de l’auteur original (je ne sais jamais si j'utilise ce mot à bon escient) …

Tenez-vous bien, j’ai lu quelque part qu’un deuxième duo sortirait en fonction de la réussite commerciale du premier.
Euh …je voudrais juste dire une chose à Mob et à Mimi : quand on n’a plus une once de talent et qu’on a plus rien à chanter mieux vaut la fermer !

lundi 25 septembre 2006

MARTINE, TU DECONNES ...

Si la confidence se révèle exacte, hormis les fautes d’orthographes (va falloir réviser son français au Point !), ça vaut le coup d’œil, non ?!
Malgré l’annonce de son retrait de la vie politique lors des présidentielles de 2002, Jospin ose donc revenir sur sa décision après avoir abandonné les socialistes et la gauche dans son ensemble. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il ne manque pas d’air !
Bien entendu, aujourd’hui il avance sur la pointe des pieds (hum) et préfère annoncer qu'il ne reviendra que si la situation le justifie, que si le PS le lui demande.

Pour rappel, en 2002 Jospin avait traité Chirac, âgé alors 69 ans, de « vieux » (simple constat ou don de voyance ?). En 2007, Jospin aura 70 ans … comme quoi le ridicule en politique (comme dans bien des domaines) ne tue pas, même ceux qui ont la mémoire courte !

Jospin a, paraît-il, médité 5 ans sur la fonction de Président de la République. Il a raison de le préciser, même si au fond il aurait été plus avisé de réfléchir aux solutions à mettre en œuvre pour "redresser" le pays … ce qui, selon toute logique, et quand même plus révélateur de l’état d’esprit d’un candidat ! D’ailleurs, on appelle ça un programme …

Petit conseil à Martine A., un brin opportuniste : "cé pa pars ‘ ki di ki é ki s’ra"

dimanche 24 septembre 2006

LE JEU DES 007 ERREURS

Devinette :

Comment différencierez-vous les deux affiches de Casino Royale (oui encore, mais je fais ce que je veux !) sachant que celle destinée à la communication internationale est classieuse, stylée, sombre, énigmatique, et annonce le renouveau du mythe en se rapprochant du personnage d'origine, plus humain ... alors que celle destiné au marché français est datée 80's, fade, vulgaire et, graphiquement, carrément moche (comme la majorité des affiches ciné formatées pour/dans l'hexagone depuis dix ans au moins) ?
Facile ! En France le film sort le 22 novembre ...
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GARDIENS DE LA FLAMME

C’est de Norvège qu’arrive, en 1985, l’énorme tube de trois garçons très dans le vent, Morten, Paul et Magne, considérés alors par les médias du monde entier comme les membres du premier boys band des 80’s. Take On Me, premier single et surtout premier vidéoclip de l’album Hunting High and Low, fera le bonheur mais aussi le malheur d’un des groupes les plus intéressants de ces 20 dernières années. Car contrairement à ce que beaucoup pensent, les membres du groupe dont je vais vous entretenir sont d’authentiques musiciens, avec un avant et surtout un après Take On Me.
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En 1982, deux musiciens, Paul Waaktar-Savoy (guitariste, né le 06/09/1961) et Magne Furuholmen (clavier, né le 01/11/1962) deux fans des Doors et de Joy Division, proposent à Morten Harket (chanteur, né le 14/09/1959) de rejoindre leur duo pour fonder un groupe dont le nom sera inspiré l’un des titres de Jim Morrisson, leur idole : a-ha, onomatopée dont les dictionnaires leur confirment qu'elle signifie, dans toutes les langues, l'étonnement, la surprise, le plaisir, le rire ou la satisfaction.

Lors d’aller-retours entre l'Angleterre et la Norvège, ils rencontrent John Ratcliff et Terry Slater (le "découvreur" de Queen) qui deviennent leurs managers. Andy Wickham, responsable de Warner Bros UK signe le groupe en décembre 1983. L'album Hunting High and Low sort, mais le single Take on Me, 1er extrait, passe complètement inaperçu. Un des dirigeants américains de la firme, Jeff Ayeroff, convaincu du potentiel du morceau, leur demande de le remixer. L’astucieux Steve Barron est solicité pour mixer réalité et fiction dans un vidéoclip tellement réussi qu’il va malheureusement coller à l’image du groupe pendant de nombreuses années. Take on Me se classe immédiatement dans le Top 20 américain. Le 9 Octobre 1985, a-ha est n° 1 aux USA ! Et ce n'est qu'un début. Take on me, tube planétaire, est le titre le plus programmé dans les radios européennes à cette période et pendant de nombreuses semaines. Le groupe est propulsé au top des hit-parades avant même d'avoir eu le temps de développer un véritable langage musical. Suivent d’autres singles dont le tendre Hunting High and Low (donnant son titre à l’album) qui laisse d’ores et déjà supposer de futures orientations artistiques plus complexes.
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a-ha se remet au travail et entre en studio à Londres en avril de la même année. I've Been Losing You précède de quelques mois la sortie de l'album Scoundrel Days qui confirme tous les espoirs des critiques et du public. Toujours la même pop rock sensible et sophistiquée, empreinte d'un charme infaillible et d'une douce mélancolie. Pourtant Scoundrel Days est différent, moins évident. A l’image de la ligne graphique de l’album, il est une invitation à l’élévation et au voyage espace/temps comme dans October, ballade automnale, véritable apologie de calme et de quiétude, ou dans l’excellent Manhattan Skyline, titre ovni inégalé. Il permet dès lors d’appréhender le groupe différemment et le dissocie d’un grand nombre de produits superficiels émergents de l’époque.

Suivra, en 1987, un troisième album plus léger et moins intéressant, Stay on This Roads, puis celui qui amorcera l’ébauche d’un nouveau tournant East of the Sun West of the Moon. Nous sommes en 1990 et le groupe espère se débarrasser, enfin, du "public de boys band" qui ne lui correspond plus.
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En 1993, Memorial Beach confirme la baisse d’intérêt du public pour nos trois norvégiens dont les nouveaux choix artistiques déstabilisent. Pourtant Memorial Beach propose ce que le groupe sait produire de mieux . Il enchaîne carrément trois des meilleurs morceaux que le groupe ait jamais composé : Cold as Stone, magnifique complainte dépassant les 8 minutes, Angel in the Snow, douce mélopée sentimentale, puis Locust, sombre mélodie nostalgique. L’album se clôt sur le titre le plus apaisé, le plus mature, Memorial Beach lui-même, une petite leçon de simplicité.
Les trois compères vivront mal l’échec Memorial Beach et a-ha cessera d'exister plusieurs années. Chaque membre du groupe entreprend alors une carrière solo :
- Morten Harket sort 3 albums,
- Paul Waaktaar-Savoy forme Savoy avec son épouse et sort 4 albums entre 1996 et 2001,
- Magne Furuholmen s'adonne à sa passion, la peinture, et s'associe avec Kjetil Bjerkestrand avec qui il écrit des musiques de film.
Fin 98, le groupe se reforme le temps d’interpréter une nouvelle chanson, Summer Moved On, lors de la remise du prix Nobel de la paix. Forts de ces retrouvailles, Paul, Mags et Morten décident de retravailler ensemble.
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Ils sortent l’un des meilleurs opus de leur carrière Minor Earth Major Sky en 2000 mais Warner ne le distribue pas mondialement. La promotion est déficiente, l'album passe inaperçu, notamment en France, mais enregistre pourtant des ventes exceptionnelles en Europe (Allemagne, Norvège). Summer Moved On y est repris différemment et s’intègre à une ambiance générale fluide. Les textes pourtant plus "politiques" et plus critiques que de coutume, balancent sur des rythmes assez légers, oscillant entre la pop, la folk et certains tempos plus électroniques, l’ensemble se détachant considérablement de l’atmosphère lourde de Memorial Beach.
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En 2002, déboule Lifelines, dans la droite lignée de son prédécesseur mais plus sophistiqué et pop, flirtant aussi bien sur des ambiances rock que carrément électro. Très bien produit (peut être trop) notamment par Stephen Hague (Blur, New Order, Marc Almond…) et très varié (peut être trop) Lifelines souffre néammoins d’une certaine déstructuration peut être due au nombre incroyable de producteurs qui se sont succédés lors des cessions d’enregistrement.

Désappointé par le manque de motivation de leur maison de disque à promouvoir leurs dernières productions, a-ha sort un ultime live enregistré sur la tournée précédente. Ils décident ensuite de rompre le contrat qui les lie à Warner pour signer chez Universal et se lance dans la réalisation de ce qui est, à ce jour, le dernier album du groupe. Analogue, paru en 2005, a l’atmosphère "Beatlesienne". Les arrangements 70’s contrastent avec les tempos modes trop utilisés (certes souvent à bon escient) sur Lifelines, et dévoilent la qualité des compositions en renforçant la ligne mélodique de chacune. Même la voix de Morten est travaillée différemment de sorte qu’elle se fond radicalement dans les instrumentations tour à tour rock, folk ou pop, qui auraient presque pu être écrites il y a 30 ans par un quatuor auquel presque tout Analogue fait référence. Le point d’orgue de l’album (et peut être le deuxième de la carrière du groupe après le Manhattan Skyline de Scoundrel Days) est sans aucun doute le très touchant Keeper of the Flame, démarrant sur un piano que ne renierait pas McCartney et dont le refrain, véritable envolée mélodique, emporte loin, très loin celui qui s’y laisse prendre.
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Aujourd’hui qu’en est-il de l’image du groupe auprès du public, notamment le public français qui a toujours catalogué a-ha comme boys band, même 20 ans après son apparition ? Le mieux finalement serait de se faire sa propre opinion en oubliant quelques instants Take On Me pour aller vers ce que le groupe sait faire de mieux, des ballades rock mélancoliques, intimistes, universelles et … sincères.

Vous trouverez une mine d’informations passionnantes sur le site français qui leur est consacré, aha-fr.com, dont je me suis beaucoup inspiré (cliquez sur le titre de l’article pour y accéder), ainsi que sur le site officiel du groupe.

samedi 23 septembre 2006

SYLVETTE A PARIS


Quand Sylvette from Montréal vient faire sa promo in Paris, tout le monde se déplace !

C'est ainsi que les plus belles stars du moment se sont retrouvées le temps d'un dîner au Nioulaville, le dernier resto chic branché des soirées exotiques parisiennes (et le préféré de la dame). Voici y était ...

Quand Voici vous dit que les plus belles y étaient ...

Une bonne adresse : les mets les plus fins pour les palais les plus délicats !

Le scoop : Sylvette et Franck, le début d'une nouvelle idylle ?

En attendant la sortie prochaine de son nouvel album, M... est venu incognito !!!

mardi 19 septembre 2006

FAIS GAFFE A PARKER

Le moins qu’on puisse dire, après avoir vu les premières images du prochain film consacré à notre araignée préférée, c’est qu’elle ne va pas beaucoup rigoler !
Le troisième volet des aventures de Spidey, toujours réalisé par l’excellent Sam Raimi (un vrai fan du monte-en-l’air qui sait de quoi il parle, ce qu’il nous a prouvé deux fois déjà), toujours avec le douloureux Tobey MacGuire en Peter Parker et la ravissante Kirsten Dunst en Mary Jane (mais pas qu’eux) s’annonce sombre, sombre … en un mot : SOMBRE.
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Un petit bémol quand même, en ce qui concerne les rumeurs les moins flatteuses de ce dernier opus : suite aux premiers screen tests (vous savez, on invite un échantillon de spectateurs triés sur le volet à regarder un film tout juste sorti de la table de montage, puis on leur demande leur avis par l’intermédiaire d’un « QCM » formaté par des producteurs avides de s’en foutre plein les poches, quittes à se foutre à dos tout réalisateur susceptible de vouloir défendre son travail), Sam Raimi aurait été prié de rajouter quelques scènes d’action ça et là, afin de contenter un public incapable de se concentrer plus de 10 secondes d’affilé sur un dialogue.
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Faux ! Aucune projection test n’a encore eu lieu pour la simple et bonne raison que la majorité des effets spéciaux du film n’est pas encore terminée. En revanche, une première bande-annonce, visible sur le site officiel (cliquez sur le titre de l’article), et quelques extraits présentés par le réalisateur lui-même lors d’une convention de fan, ont permis à Sam Raimi de « prendre la température », histoire d’orienter un peu « sa démarche artistique » !!!
Tiens bon Spidey !

lundi 18 septembre 2006

YOU'RE WELCOME, NICK !

Lobbyiste séduisant et ambitieux, Nick Naylor met son charme, son talent et son sourire carnassier au service de la société Big Tobacco pour contrer les ravages de la politique de prévention contre le tabagisme. De conférences de presse en talk-shows télévisés, il défend l'indéfendable, mais a du mal à convaincre qu'il peut être un père modèle pour son fils …

Thank you for smoking est adapté du roman homonyme de Christopher Buckley publié en 1994.

Dès sa parution le livre politiquement incorrect est un véritable succès et suscite vite la convoîtise de nombreux producteurs hollywoodiens. La Warner en obtient les droits d'adaptation pour le compte de Mel Gibson qui désire alors incarner Nick Naylor à l'écran. Jason Reitman est alors étudiant à l'université en littérature britannique. Il découvre le roman et décide d'écrire un scénario très fidèle à l'oeuvre de Buckley en y ajoutant des scènes entre le père et le fils afin de donner une dimension plus humaine au personnage principal. Il le propose au producteur David O. Sacks qui décide immédiatement de s'engager dans une bataille juridique, qui durera 18 mois, pour pouvoir produire le film.
En 2004, il en obtient enfin les droits d’adaptation (ouf ! exit Mel Gibson), met Jason Reitman derrière la caméra et propose l’excellent Aaron Eckart devant.
Le réalisateur considère ce choix judicieux : "J'avais vu En compagnie des hommes, Erin Brockovich, et j'étais vraiment subjugué que le même homme ait pu jouer dans ces deux films. Pour moi, Nick Naylor se situait entre ces deux personnages. Il possède le terrifiant pouvoir de séduction du Chad d'En compagnie des hommes, et la richesse émotionnelle inattendue du George d'Erin Brockovich."
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C'est l'accord d'Aaron Eckhart qui permet à l'aventure de réellement se concrétiser. Il dit de de Nick Naylor, son personnage : "Il peut se révéler charmant, c'est un beau parleur et un passionné. Il adore les femmes. C'est un peu une canaille, en somme. Cela me correspond assez bien. (...) Sur ce film, j'ai joué à fond la carte de la comédie."

Thank you for smoking illustre le combat de la politique interne américaine contre ce qu'elle nomme les Marchands de Mort. La M.O.D. Squad en version originale représente les corporations des vendeurs d'armes, de tabac et d'alcool, représentés par trois personnages qui sont d'ailleurs l'incarnation de la critique du politiquement correct dans le film.

Si ce film drôle et cynique ne vous incite pas à arrêter de fumer, il vous donnera au moins une bonne leçon de communication "négociation" marketing : intelligente, stratégique et persuasive !

dimanche 17 septembre 2006

3 SEMAINES AU CANADA (4)

A quelques kilomètres de Niagara Falls, se trouve la "tranquille" mais réputée Niagara-on-the-Lake, petite bourgade paisible toute proprette, à l'américaine, style Monterey, Carmel and Cie ... pour ceux qui connaissent la côte ouest US et plus particulièrement la route 1 ...
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Les touristes égarés peuvent y chercher un hôtel (en vain ! mieux vaut réserver si vous souhaitez dormir ici) ...

... les autochtones retraités y jouent à la pétanque (enfin, un truc dans le genre) ... Vous l'aurez compris, Niagara-on-the-Lake n'est pas l'endroit le plus festif de la région, mais c'est très joli et surtout on y trouve (enfin) du bon vin et à des prix plus attractifs que dans la plupart des villes canadiennes ! Alors pourquoi bouder son plaisir ?

Ici, comme n'importe où au Canada, Sylvette est assurée de trouver son fast food préféré : Tim Hortons ! Sylvette s'arrête toujours chez Tim Hortons ... un gage de qualité, assurément !!!

3 SEMAINES AU CANADA (3)

Qui n'a pas souhaité aller à Niagara Falls un jour, histoire de vérifier si les chutes y sont aussi impressionnantes qu'on le dit !
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C'est pas une maquette, j'vous jure !!!!
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Ah, qu'est-ce que j'vous disais ?!

Chacun porte le plastique bleu comme il peut !!! Sylvette fait ça à l'asiatique parce que pour elle c'est plus pratique ...

... Fafane voudrait bien faire pareil, mais ... il est moins bien pourvu ...

... Mamien la joue Dead Zone, mais là faut des références alors je vous laisse y réfléchir ...

Bon, finalement je m'en sors pas si mal, mais faut dire que j'ai un photographe hors pair !

En toute logique, plus on s'approche plus ça mouille ... alors on photographie ce qu'on peut, comme on peut !!!

Sylvette voulait absolument se faire photographier avec une star ! Elle est prête à poser avec n'importe qui pour épater ses amies ...

... évidemment, Fafane a voulu faire pareil pour épater sa copine Delphine ... mais visiblement il avait quelques doutes, lui !

samedi 16 septembre 2006

KEANE COOL

Keane est né d'une bande de copains étudiants en 1997.

En 2002, suite au départ du guitariste et après s'être peaufiné un son, le groupe part sur les routes. Il joue notamment deux concerts acoustiques auxquels assiste un responsable du label Fierce Panda (le premier label de Coldplay), Simon Williams, qui propose aux 3 compères de sortir un single, Everybody’s changing, à 1500 exemplaires (733 exemplaires vendus la première semaine).
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Tom Chaplin au chant, Tim Rice-Oxley au piano et à la basse et Richard Hugues à la batterie ...
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Au printemps 2003, Keane effectue sa première tournée au Royaume Uni et les offres des labels commencent à affluer. Il signe finalement avec Island (label de la major Universal).
L’album Hopes and Fears, pop sympathique mais rappelant beaucoup (trop?) A-ha pour la voix et certains premiers morceaux de Coldplay pour la musique, sort en 2004. Le groupe fait alors une tournée triomphale au Royaume-Uni, quelques dates en Europe, ainsi qu’aux États-Unis et au Japon …
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En 2006 débarque Under the iron sea, petit bijou pop mélodique plus rock et surtout plus personnel, contenant les perles Nothing in my way, Is it any wonder, Atlantic et j’en passe … Ok, l’album n'est pas un chef d'oeuvre, mais il suffit à mon bon plaisir et tourne actuellement en boucle dans mon iPod ! Alors que voulez-vous que je vous dise de plus ?